Aujourd'hui encore, c'est avec plaisir que je repense à l'époque où j'étais président de la SSED. Pendant cette période intense, j'ai pu faire bouger les choses et contribuer à définir l'orientation future de la SSED. Bien entendu, cela n'aurait pas été possible sans le soutien actif du comité et du secrétariat de l'époque.
Pendant mon mandat, le secrétariat de la SSED s'est par exemple établi comme « agence » pour le congrès scientifique d'automne. En collaboration avec le comité, nous avons révisé les statuts et les règlements des groupes de travail afin de doter la SSED d'une force de frappe pour les années à venir. Il convient de mentionner en particulier que nous avons pu obtenir une compensation financière pour l'engagement des membres de la SSED dans les groupes de travail.
Il m'a toujours semblé important de lier les praticiens à la SSED et de renforcer leur cohésion. C'est pourquoi j'ai initié à l'époque le fait que la FOSPED annuelle soit entièrement organisée par un comité de praticiens. Cela a fait ses preuves jusqu'à aujourd'hui.
Enfin, je tenais personnellement à ce que la SSED soit fortement représentée au sein des associations internationales, comme l'ECAS (International Society of Endocrinology), ainsi qu'au niveau national dans les organes de la FMH (Chambre médicale et AD), pendant mon mandat et au-delà. En effet, ce n'est que par le biais de ces réseaux importants que nous pouvons, en tant qu'endocrinologues et diabétologues, défendre nos intérêts et nous impliquer activement dans l'évolution future.